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 THEO - Ils n'ont plus rien à se maudire

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Theodore Nott
ϟ parchemins : 48 ϟ Gallions : 75
Theodore Nott
Serpentard • Cinquième année ─
MessageSujet: THEO - Ils n'ont plus rien à se maudire   THEO - Ils n'ont plus rien à se maudire EmptyLun 11 Mai - 19:39



theodore nott

un sous titre ici
Lorsque, par un décret des puissances suprêmes, Le Poète apparaît en ce monde ennuyé, Sa mère épouvantée et pleine de blasphèmes Crispe ses poings vers Dieu, qui la prend en pitié : - " Ah ! que n'ai-je mis bas tout un noeud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision ! Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! Puisque tu m'as choisie entre toutes les femmes Pour être le dégoût de mon triste mari, Et que je ne puis pas rejeter dans les flammes, Comme un billet d'amour, ce monstre rabougri, Je ferai rejaillir ta haine qui m'accable Sur l'instrument maudit de tes méchancetés, Et je tordrai si bien cet arbre misérable,Qu'il ne pourra pousser ses boutons empestés ! " Elle ravale ainsi l'écume de sa haine, Et, ne comprenant pas les desseins éternels, Elle-même prépare au fond de la Géhenne Les bûchers consacrés aux crimes maternels. Pourtant, sous la tutelle invisible d'un Ange, L'Enfant déshérité s'enivre de soleil, Et dans tout ce qu'il boit et dans tout ce qu'il mange Retrouve l'ambroisie et le nectar vermeil. Il joue avec le vent, cause avec le nuage, Et s'enivre en chantant du chemin de la croix ; Et l'Esprit qui le suit dans son pèlerinage Pleure de le voir gai comme un oiseau des bois. Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats ; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas. Sa femme va criant sur les places publiques : " Puisqu'il me trouve assez belle pour m'adorer, Je ferai le métier des idoles antiques, Et comme elles je veux me faire redorer ; Et je me soûlerai de nard, d'encens, de myrrhe, De génuflexions, de viandes et de vins, Pour savoir si je puis dans un coeur qui m'admire Usurper en riant les hommages divins ! Et, quand je m'ennuierai de ces farces impies, Je poserai sur lui ma frêle et forte main ; Et mes ongles, pareils aux ongles des harpies, Sauront jusqu'à son coeur se frayer un chemin. Comme un tout jeune oiseau qui tremble et qui palpite, J'arracherai ce coeur tout rouge de son sein, Et, pour rassasier ma bête favorite, Je le lui jetterai par terre avec dédain ! " Vers le Ciel, où son oeil voit un trône splendide, Le Poète serein lève ses bras pieux, Et les vastes éclairs de son esprit lucide Lui dérobent l'aspect des peuples furieux : - " Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance Comme un divin remède à nos impuretés Et comme la meilleure et la plus pure essence Qui prépare les forts aux saintes voluptés ! Je sais que vous gardez une place au Poète Dans les rangs bienheureux des saintes Légions, Et que vous l'invitez à l'éternelle fête, Des Trônes, des Vertus, des Dominations. Je sais que la douleur est la noblesse unique Où ne mordront jamais la terre et les enfers, Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique Imposer tous les temps et tous les univers. Mais les bijoux perdus de l'antique Palmyre, Les métaux inconnus, les perles de la mer, Par votre main montés, ne pourraient pas suffire A ce beau diadème éblouissant et clair ; Car il ne sera fait que de pure lumière, Puisée au foyer saint des rayons primitifs, Et dont les yeux mortels, dans leur splendeur entière, Ne sont que des miroirs obscurcis et plaintifs ! " ▲ BAUDELAIRE

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(c) AMIANTE


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Theodore Nott
ϟ parchemins : 48 ϟ Gallions : 75
Theodore Nott
Serpentard • Cinquième année ─
MessageSujet: Re: THEO - Ils n'ont plus rien à se maudire   THEO - Ils n'ont plus rien à se maudire EmptyLun 11 Mai - 19:40



 
de sable

 



Si à Poufsouffle vous allez,
Comme eux vous s'rez juste et loyal
Ceux de Poufsouffle aiment travailler
Et leur patience est proverbiale.
(c) MORIARTY
AMIANTE


tove winch
Tove, c'est le mélange entre la chaleur du creux des reins et l'amertume du creux des cauchemars. C'est un enfant des étoiles, une sorte de monstre mythique fait du dégoût qu'il inspire et de l'amour dont il exhale. De ses silences et de ses rires, de ses contacts, de son absence ; une étrange constellation de sensation. Et cette fusée dans le ciel, comme la dernière chose capable de briller dans les yeux de Theodore.
(c) MORIARTY
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(c) MORIARTY
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de carmin

 



Si vous allez à Gryffondor
Vous rejoindrez les courageux,
Les plus hardis et les plus forts
Sont rassemblés en ce haut lieu.
(c) MORIARTY
AMIANTE


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de saphir

 



Si vous êtes sage et réfléchi
Serdaigle vous accueillera peut-être
Là-bas, ce sont des érudits
Qui ont envie de tout connaître.
(c) MORIARTY
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firmin de morgand
De ces sombres coïncidences qui font accuser ce destin de malheur, parce qu'il n'y a personne d'autre à accuser, quand on voit sa mère partir, et quand on n'a que la solitude dans laquelle se goberger. Et puis ce regard, cette main tendue, ce douloureux souvenir commun, qui tendrement s'en va fermer les yeux sous les murmures délicats d'un violon bien trop précieux.
(c) MORIARTY
AMIANTE



abel seachnasaigh
Il y a ce sourire méchant, et ces mots qui déchirent par l'en dedans, parce que l'autre sait, et à tout moment l'autre peut dire, et à tout moment tous les autres peuvent comprendre, et laisser les autres comprendre, c'est se laisser mourir, à petit feu, comme cela, comme si de rien n'était. Disparaitre dans un dernier souffle de fumée, minable martyr sur la place publique.
(c) MORIARTY
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d’émeraude

 



Vous finirez à Serpentard
Si vous êtes plutôt malin,
Car ceux-là sont de vrais roublards
Qui parviennent toujours à leurs fins.
(c) MORIARTY
AMIANTE


enska storminn
Des dragon dans les yeux t le feu dans le coeur. Il y a ces légendes, les seules peut-être qui savent faire naître des sourires, de sincères sourires beaucoup trop jolis pour être faux, et puis cet impérieux besoin de faire semblant d'être quelqu'un de bien quand tout se casse à l'intérieur, cet impérieux besoin qui fait qu'on casse alors tout à l'extérieur et cette immense tristesse qui vient masquer les cernes.
(c) MORIARTY
AMIANTE



america white
Ces rictus malvenus pour dire tout en même temps cet amour, cette haine. Confusion mystérieuse entre ce sang commun qui coule dans les veines et celui que parfois on voudrait voir sur les mains de l'autre, pour un peu de silence, rien qu'un peu de silence pendant quelques instants. Mais la guerre est aux cons et fait naître les cons. Dès lors comment dire non ?
(c) MORIARTY
AMIANTE


draco mafoy
Il y a les non-dits, les espoirs mis à mal, l'image convenable à afficher au monde entier, aussi, pour dire oui aux traditions. Et puis l'incompréhension, parce que deux chemins, parce que pas les mêmes, parce que divergences. Et un soir d'hiver, contre toute attente, cette oreille attentive au coin d'un feu, à l'abri de regards, de tous les regards, donc à l'abri de tout.
(c) MORIARTY
AMIANTE




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