ϟ parchemins : 203 ϟ Gallions : 371 ϟ Âge : Seize ans ϟ Baguette : Vingt-sept centimètres – bois d’orme – ventricule de cœur de dragon ϟ Sang : Pur ϟ Année d'étude : Sixième année
Enska Storminn
─ Préfète Serpentard • Sixième année ─
Sujet: Enska ♦ Wild at heart Ven 5 Juin - 0:07
Enska Storminn
Je cherche des amis, des amis-rivaux, des ennemis et pourquoi pas un intérêt amoureux, sans préférence quant aux Maisons ou au statut de sang, je suis bien au-dessus de ces querelles puériles (même si les Poufsouffle me font grincer des dents) !
On m'a toujours dit que, curieusement, malgré le nom de mon pays d'origine (l'Islande), j'ai été gratifiée d'un caractère de feu. Je n'ai jamais manqué de faire remarquer que, premièrement, mon île est recouverte de volcans et que, deuxièmement, quand on a grandi entourée de dragons, il ne peut pas en être autrement. Et puis que, troisièmement, s'ils ne la fermaient pas, c'est eux qui se retrouveraient avec les fesses en feu. Je peux paraître hautaine, de prime abord. Et si, par "malheur", vous vous attiriez mes foudres, vous apprendrez bien vite à le regretter. Sachez néanmoins que, si vous gagnez mon estime, je saurai me montrer (un peu) plus agréable et même me révéler être une amie en qui vous pourrez avoir entière confiance et qui saura vous soutenir qu'importe les épreuves. Mais n'espérez pas que je vous épargnerai mes commentaires cinglants. (On ne peut chasser le naturel bien longtemps...)
ϟ parchemins : 203 ϟ Gallions : 371 ϟ Âge : Seize ans ϟ Baguette : Vingt-sept centimètres – bois d’orme – ventricule de cœur de dragon ϟ Sang : Pur ϟ Année d'étude : Sixième année
Enska Storminn
─ Préfète Serpentard • Sixième année ─
Sujet: Re: Enska ♦ Wild at heart Ven 5 Juin - 0:07
Nebuula Murphy
Enfance
Bubulle, c'est ma meilleure amie, la sœur que je n'ai jamais eue : on passe nos vacances chez l'une ou chez l'autre, on partage nos passions (DRAGONS!!!), nos petits secrets et nos Chocogrenouilles. Je ne dirais pas que nous sommes des opposés, mais plutôt que nous nous complétons à merveille.
America White
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Dernière édition par Enska Storminn le Ven 5 Juin - 0:09, édité 1 fois
ϟ parchemins : 203 ϟ Gallions : 371 ϟ Âge : Seize ans ϟ Baguette : Vingt-sept centimètres – bois d’orme – ventricule de cœur de dragon ϟ Sang : Pur ϟ Année d'étude : Sixième année
Enska Storminn
─ Préfète Serpentard • Sixième année ─
Sujet: Re: Enska ♦ Wild at heart Ven 5 Juin - 0:08
Sgàrth Giommanach
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Theodore Nott
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Bill Scobahull
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Nepheris Epstein
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Asim Khedekar
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Drago Malefoy
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Liam Nielsen
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.
Tove A. Winch
un mot
Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit. Elle court, elle court, la maladie d'amour, dans le cœur des enfants de sept à soixante-dix-sept ans.Elle chante, elle chante, la rivière insolente qui unit dans son lit les cheveux blonds, les cheveux gris. Elle fait chanter les hommes et s'agrandir le monde. Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie. Elle fait pleurer les femmes, elle fait crier dans l'ombre Mais le plus douloureux, c'est quand on en guérit.